Tête italienne (?) mais certainement soucieuse, croisée au débour d'une porte dans une rue du 15ème. J'aime bien le contraste de ce petit buste délicat jouxtant le reflet d'une voiture aventureuse

Il m'a fallu remplacer une paire de douilles prêtées par Biche ( et sottement perdues par moi.... ) Tu me connais, je ne résiste pas à la tentation, et j'ai craqué pour un p'tit moule en n'avion ( précision : la souris n'était pas pour moi ) Un rouleau...

Des pinceaux qui traînent dans le coin d'une boite au fond d'un tiroir ? Un bout de tissu impossible ? Et zou, une pochette pour ranger les pinceaux de façon bien chic.... dans le tiroir ! Comme ça, sans réfléchir, sans crainte, sans même me fâcher avec...

Je continue d'éplucher les couvertures du New Yorker, un régal. Celle-ci m'a bien amusée car, à y réfléchir, je n'ai pas l'impression que le regard étranger ait changé : Paris idéalisée..... Cette cover date du 24 juin 1950 !

Comme tu le sais, je suis en recherche d'emploi. Je me suis inscrite chez nos amis de Pôle emploi ( clic si tu as déjà oublié ) et je t'avoue avoir été rudement épatée de recevoir hier un mail de leur part me signalant une proposition d'emploi correspondant...

Toile enduite, bouton rigolo. Pochette toute simple pour la liseuse du Chéri de Biche qui travaille dans la finance... d'où le . Je ne dirais pas que je l'ai faite en deux temps trois mouvements, mais je n'en reviens pas d'avoir texté à ma Biche de fille...